Comme s’ils faisaient parti du trottoir.

Ma réflexion sur notre société face aux itinérants

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La photographie du dessin qui m’a inspiré ce texte.

Photo prise sur la rue Masson le 22 septembre 2016.

Comme s’ils faisaient parti du trottoir.

Par Sergio de Rosemont

Comme s’ils faisaient parti du trottoir.

Comme s’ils s’étaient enfoncé dans le trottoir, sous le trottoir.

On ne les vois pas, ou devrais-je plutôt dire qu’on ne veut pas les voir ces itinérants.

Oui ils nous dérangent en nous renvoyant une vérité en plein visage.

Et comme souvent, on ne veut pas voir une vérité qu’on a peur.

Et lorsqu’on a peur d’une vérité on préfère ne pas la voir.

Et cette vérité que ces itinérants nous projettent en plein devant les yeux par leur présence , c’est que n’importe qui peut se retrouver à leur place.

Il ne vous faut parfois que quelques coups durs de l’existence,… et vous y êtes.

On a souvent tendance à vouloir cacher ce qui nous fait peur !

Si au lieu de refuser de regarder cette réalité qui nous effraie, si nous décidions de la regarder et de voir qu’est-ce qu’on peut faire collectivement pour enrayer cette problématique de l’itinérance, qu’en dites-vous ?

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P.S: Vu que pour l’instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l’occasion changer l’adresse URL des photos, en cas où que d’un tel changement à mes photos voici l’adresse de mon article en version Facebook :
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A propos sergiorosemont

Militant actif de Québec solidaire, socialiste indépendantiste
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