Parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir

Mon plus récent poème sur l’une des réalités de notre si belle société.

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Parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir

Par Sergio de Rosemont

Parfois pour certains, la vie est comme un casse-tête.

Ils essaient honnêtement de faire de leur mieux pour faire leur vie d’une façon décente.

Ils font de leur mieux et même parfois, ils font des acrobaties, des contorsions morales pour tenter d’avoir des relations sociales harmonieuses.

Mais parfois tel que sur un casse-tête, il y a une pièce qui ne veut pas s’insérer ou est introuvable.

Ce qui fait que la belle image qu’ils aimeraient tant montrer à cette société ne peut pas être complète et satisfaire les « dits » conventionnel et « dits » bien-pensant de cette société.

Mais parfois, hélas oui parfois pour une ou des raisons « X », « Y », « Z », ces personnes se retrouvent à la rue.

Et leur vie en devient comme un casse-tête échappé violement sur la pavée du trottoir.

Ils ne sont plus capables de remettre les morceaux de ce casse-tête ensemble en place.

Et alors l« Espoir » les quitte sans aucun préavis.

Et alors la seule compagne qu’ils leur reste se nomme « Folitude ».

La « Folitude » c’est la folie due à la solitude qui elle-même est due à la folie.

Une folie du désespoir.

Malheureusement la dague que cette société vous enfonce dans l’âme, dans le cœur laisse des cicatrices douloureuses pour des années et des années et parfois jusqu’à la fin de la vie à son dernier souffle.

Les blessures morales sont souvent plus douloureuses que les blessures physiques même si elles sont moins visibles.

Oui parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir.

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Je repense à ce fanatique religieux

Avoir écrit ce texte est une façon pour moi de dénoncer ce fanatisme religieux.

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Je repense à ce fanatique religieux

Par Sergio de Rosemont

Je suis assis dans cette pizzéria et je me rappel de ce fanatique.

J’étais assis dans un café sur la rue Masson à l’une des tables communes.

Il y a un type qui vient s’assoir à la même table que moi.

Il sort son pad pour écrire, il me regarde en me saluant et en me demandant comment ça allait.

Je lui réponds alors par mon traditionnel : « On travaille pour ! ».

Et j’enchaîne en lui souhaitant : « Bonne lecture ».

Il me répond qu’il a une conférence à faire et qu’il travail là-dessus.

Je lui réponds : « Bonne conférence ».

Il me mentionne alors que sa conférence porte sur la : « Grâce, la Grâce divine ».

La discussion commence.

Son attention est attirée par ma bague dragon oriental.

Je lui explique alors que contrairement à l’Occident où pour plusieurs, le dragon représente les forces négatives, qu’en Orient les dragons représentent les forces de la nature.

Par la suite, son attention fut attirée par mon pentagramme que je porte dans le cou.

Je lui explique alors que la définition originale du pentagramme qui représentait l’humain dans l’univers, dans le monde.

C’est alors qu’il commence à faire dévier la conversation vers un fanatisme religieuse avec un discours où la seule chose d’importance dans la vie était sa : « Grâce divine » et rien d’autre, absolument rien d’autre.

Peu après la conversation dérive sur la politique internationale.

Et c’est là que le dégoût envers ce conférencier m’a pris.

Il commença à tenir un discours très méprisant envers les musulmans et il m’avoue être en faveur de ce qui arrive aux palestiniens.

Et il m’envoi : « Y ont juste à s’évangéliser, à se convertir et prier Jésus ! ».

Et il continu : « Qu’ils se fassent exterminer ce n’est pas grave, ils ont juste à se convertir ! ».

Et oui pour monsieur, que les palestiniens se fassent massacrer, ce n’est pas grave, pour lui la seule chose qui ait de l’importance, c’est que les palestiniens commencent à prier son « Jésus ».

C’est alors que j’ai préféré me lever et sacrer mon camp avant de le frapper, ce type me dégoûte, me donne le goût de vomir.

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Venant du Subconscient

Mon plus récent tableau

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Venant du Subconscient

Par Sergio de Rosemont

Une image vue dans l’un de mes rêves que j’ai tenté de reproduire avec les mêmes défauts qu’elle avait dans mon rêve.

Photo du 27 avril 2024.

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Je veux vivre avant de devenir une épave humaine

Mon plus récent poème

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Je veux vivre avant de devenir une épave humaine

Par Sergio de Rosemont

Je veux vivre avant de devenir une épave humaine.

Je veux prendre le temps d’aimer avant.

Je veux prendre le temps de créer avant.

Je veux prendre le temps d’écrire avant.

Je veux prendre le temps de rêver avant.

Je veux prendre le temps de savourer les délices de la vie avant.

Je veux prendre le temps de prendre une bonne coupe de vin avant.

Mais par contre, je veux prendre le temps de me révolter contre les injustices avant.

Je veux prendre le temps de combattre les injustices avant.

Je veux tout cela avant de devenir une épave humaine !

On devient une épave humaine le jour, où on prend la décision qu’on est rendu trop vieux pour profiter de la vie et pour agir, alors on cesse de vivre et on commence qu’à simplement survivre jusqu’au jour où le « King Crimson » vient nous chercher.

On peut avoir 90 ans et décider qu’on peut continuer à vivre et non pas survivre jusqu’à notre dernier souffre.

Vivre et non pas survivre.

Vivre et non pas se contenter que d’exister !

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Parfois je me rappel de cet appartement sur la rue Christie

Je vous parle de mon enfance

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Parfois je me rappel de cet appartement sur la rue Christie

Par Sergio de Rosemont

Parfois je me rappel de cet appartement sur la rue Christie lorsque j’étais enfant.

J’avais fort probablement autour de 2 ans, peut-être 3 ans.

Parfois des souvenirs de cet appartement me reviennent.

Et oui mes parents avaient loué un logement sur cette rue Christie dans le Vieux-Québec.

C’est une courte rue qui ne fait la longueur qu’entre 2 coins de rue entre la rue Couillard et la rue Garneau si ma mémoire est bonne.

La particularité de ce logement, c’est qu’il n’était accessible que par l’entrée de la cours.

Et ce logement se trouvait à la hauteur de la cours.

Dans mes rares souvenirs que j’ai de ce logement, c’est qu’il m’a toujours parut sombre dans mes souvenirs.

J’étais situé dans un meuble qui était à la fois comme un lit et un parc pour bébé, un espace clos pour le jeu, je crois qu’on appelait ça un parc pour bébé, (même si ça me semblait être comme un enclos).

Les rares souvenirs de cette époque qui me reviennent sont ceux où j’étais installé dans ce parc pour bébé pour et où j’étais impatient et je rageais car je trouvais la situation d’avoir été déposé seul dans ce parc pour bébé et ce temps me paraissait interminable et très ennuyant.

Ce parc était situé dans ce qui me semblait être la pièce principale qui me semblait faire office de cuisine et de salon (selon la perception que j’avais à l’époque) et dans le fond il me semblait y avoir une plus grande pièce encore plus sombre, qui probablement devait servir de chambre.

Et au fond de cette pièce sur la gauche, il y avait une petite chambre de bain avec une baignoire et un siège de toilette.

Chose assez rare à l’époque dans la Haute-Ville de Québec où beaucoup de logements (dans le Vieux-Québec et le quartier Saint-Jean Baptiste) n’avaient pas de baignoire ou de douche, n’ayant qu’un siège de toilette.

De plus à cette époque, plusieurs logements dans les quartiers populaires de Québec n’avaient pas l’eau chaude et étaient chauffés par un poêle à l’huile.

Oui ce sont des souvenirs qui me reviennent de ce logement.

Un logement sombre mais aussi très silencieux, et oui ma mère souffrant de surdités, donc quand mon père était au travail, aucun radio ne jouait.

Et évidemment quand je m’énervais dans ce parc pour bébé, fort probablement que très souvent ma mère ne m’entendait pas.

Autres souvenirs qui me reviennent de cette période, de ce logement sont des souvenirs où je jouais dans un carré de sable dans la cours avec la petite voisine du 2ème étage.

Nous étions tous les 2 du même âge et nos mères respectives se parlaient tout en nous surveillant.

Les plus anciens souvenirs de ma jeunesse de mon enfance que je suis capable de me rappeler sont ces souvenirs de ce logement sur la rue Christie.

Je me rappel certains matins de week-end lorsque j’accompagnais mon père à la tabagie où il allait acheter son journal « Le Soleil » et son carton de paquets de cigarettes « Export plain » et à chaque fois il s’achetait un « Pepsi » qu’il buvait sur le retour à la maison, mais il s’organisait toujours pour me laisser un fond de sa bouteille à boire.

Et oui chose étonnante à cette époque, dans mes souvenirs d’enfance, mon père buvait autre chose que sa bière « Labatt 50 », il buvait du « Pepsi » !

Bizarre n’est-ce pas que pour avoir des souvenirs positifs de mon père, où son problème d’alcoolisme était beaucoup moins présent et marquant que je sois obligé d’aller dans de si vieux souvenirs de ma tendre enfance.

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Quelle magnifique journée

Parlons de la température

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Quelle magnifique journée

Par Sergio de Rosemont

Je suis vendredi le 12 avril 2024 et c’est une journée pluvieuse.

Il est 9h lorsque je suis sorti et il venait de cesser de pleuvoir et je croise l’un de mes voisins amical.

Je lui envois spontanément :

Bonjour ! Quelle magnifique journée !

Un peu surpris, il éclate de rire.

Je lui envois alors :

Bien oui, regarde il y a pas de verglas !

Et oui, vous allez peut-être me trouver un peu bizarre, mais j’aime bien ces journées parcemencées de pluie.

Et oui malheureusement, les gens ont souvent l’habitude de détester la pluie.

Pourtant, la pluie est une force de la nature positive.

Demandez aux agriculteurs, à ceux qui font pousser les fruits et les légumes avec lesquels nous nous nourrissons, ce qui arrive quand il ne pleut pas.

Quand il y a une sécheresse.

La pluie, c’est l’eau !

Et sans eau, il n’y a pas de vie.

Donc sans eau, vous ne pourriez pas être là à lire mon texte.

N’oublions pas que sur la Terre, que la vie a commencée dans l’océan donc dans l’eau.

De plus personnellement j’aime la pluie.

Je la trouve relaxante, elle porte avec elle une fraicheur.

C’est comme si sur son passage, elle nettoyait.

Et parfois poétiquement, je lui demande de dissoudre sur son chemin ce négatif qui m’affecte.

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Où est la clef de votre créativité ?

Mon plus récent tableau

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Où est la clef de votre créativité ?

Par Sergio de Rosemont

Photo du 9 avril 2024.

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Fictions pompières

Laissons la parole à Francis

Fictions pompières

6 avril 2024

—Rosaline Dumoulin, vous avez écrit Un cœur de feu, un roman violent dans lequel le personnage principal est une femme cruelle et incendiaire. En dix ans, elle aurait été à l’origine de trois incendies, d’abord sa maison, puis l’école du village et enfin l’église. Comment fait-on pour inventer des personnages aussi incroyables ?

—Je n’hésite jamais à laisser courir mon imagination sans aucune retenue, car mon expérience et mes lectures de faits divers m’ont toujours convaincue que, quoi que ce soit que l’on puisse concevoir, aussi absurdes et aussi cruelles que soient nos élucubrations, la fiction demeurera toujours et éternellement très en deçà de la réalité.

—Ben, voyons donc ! Je ne vous crois pas.

—La question de croire ou pas est totalement impertinente. La fiction est facile à apprécier, car elle se donne pour ce qu’elle est. La réalité est beaucoup plus difficilement saisissable.

—Ça ne me convainc pas. Je donne un ici exemple. On rappelle que l’action se situe dans les années soixante dans un petit village isolé du Québec. Il y a une scène particulièrement horrible. C’est la nuit, la protagoniste, Olivia, appelée Livia par ses proches, voyant que l’église est en train de flamber par ses propres soins, réveille ses trois enfants et exige d’eux qu’ils regardent jusqu’à la consomption totale de l’édifice malgré les pleurs du plus jeune qui l’implore de retourner se coucher. C’est une scène très difficile à imaginer, d’autant plus que, pendant toute cette séquence, les ayant alignés devant la fenêtre, elle fait les cent pas derrière eux en gloussant et en récitant le chapelet.

—Il nous est en effet très difficile d’imaginer jusqu’où peut aller l’horreur, mais c’est une caractéristique bien connue des incendiaires qu’ils adorent admirer le fruit de leur crime et jouissent tout particulièrement du fait d’imposer à d’autres le spectacle de leur forfait.

—En plus, ce monstre que vous décrivez est une femme. En tant que féministe, vous ne trouvez pas ça inconséquent de votre part ?

—Non, pas du tout. Le personnage est une femme, il aurait pu être un homme. Ce qui permet sa forfaiture, c’est le pouvoir local que ce personnage exerce sur son entourage. Personne narcissique et dominatrice, elle a des enfants pusillanimes élevés dans la frayeur et un mari faible, écrasé sous le poids de cet amour incompressible et maladif qu’il ressent pour elle, ce qui relève de la dépendance affective et de son adhésion inconditionnelle à la religion, discours religieux dont elle use et abuse, rappelant sans cesse le devoir d’obéissance et la colère de Dieu qui s’abat sur les pécheurs, dont elle décide qui ils sont grâce aux voix qu’elle entend.

« Avez-vous lu, madame l’intervieweuse, le roman Rose ? Vert ? Noir ! de Francis Lagacé ? C’est une fiction hautement politique, mais aussi psychologique. Dans ce roman dystopique, les homosexuels majoritaires exercent une dictature implacable sur les hétérosexuels. C’est la situation de pouvoir qui leur permet d’accomplir leurs exactions. C’est le pouvoir incontesté qui fait le crime, pas le genre ni l’orientation sexuelle. Ce ne sont pas les hommes qui sont mauvais, c’est le patriarcat dont ils bénéficient. Je ne suis d’ailleurs pas convaincue, en bonne anarchiste, que le matriarcat serait nécessairement meilleur. »

—Vous êtes donc contre tout pouvoir ?

—Oui, je le répète, je suis anarchiste.

—Mais, l’auteur Lagacé n’était pas anarchiste !

—Je crois en effet qu’il était plutôt socialiste à tendance marxienne, mais cela il aurait fallu le lui demander quand il était encore en vie, moi je ne l’ai pas connu personnellement.

—Il me semble inconcevable, et nombre de lectrices et lecteurs ont dû vous le dire, qu’une telle personne puisse survivre sans jamais se faire arrêter, sans jamais être dénoncée.

—Si vous avez bien lu le roman, vous vous rappelez qu’on la dénonce aux chapitres sept, huit et dix, mais que chaque fois cela reste sans suite. Dans ces petits hameaux où tout le monde connaît tout le monde, où l’inceste est derrière nombre de portes, d’étables et de sacristie, où les successions se règlent à coup d’accidents de chasse, où chacun vénère son terrible secret de famille, il y a ce qui se sait et ce qui se dit. Or si certaines personnes naïves osent évoquer ce qui ne se dit pas, elles se font vite rappeler à l’ordre par celles-là-mêmes et ceux-là-mêmes qui auraient logiquement le désir d’en parler, car leur véritable intérêt est qu’on ne fouille pas dans leurs affaires.

—Mais nulle part dans le roman, vous ne parlez de complot à l’échelle du patelin.

—Non, jamais, car il n’y a pas de complot. Chacun sait qu’il doit tenir sa place et décide de ne pas voir et de ne pas entendre en réciprocité de ce que les autres ne voient pas et n’entendent pas. Il faut aussi se garder de l’illusion de connaissance complète que donne la narratrice omnisciente. Un bonne partie de la population narrée n’a pas la curiosité de savoir certaines choses. Une autre partie est d’une grande naïveté. Enfin, la majorité s’attache surtout à ce que ne s’ébruite pas ce qui la concerne.

—Mais pouvez-vous franchement présenter un tel roman comme réaliste ?

—Mais la réalité n’est pas réaliste, pourquoi donc la fiction devrait-elle l’être ? Les atrocités de Pol Pot n’étaient pas réalistes avant qu’on les connaisse. Les horreurs des camps nazis suscitaient l’incrédulité. Les histoires de famille complète gardée dans une cave par leurs parents pendant des années et leur servant d’esclaves sexuels sont révélées à l’ahurissement des voisins les plus proches. Présenter la réalité, c’est l’affaire des scientifiques. Une romancière se contente d’offrir un monde à l’appréciation du public sachant que les embrasements de papier n’atteignent pas le millionième de la fureur des embrasements réels.

—Ne craignez-vous pas que l’exagération affaiblisse le message ?

—La fiction n’exagère rien, au contraire, elle atténue, encadre, miniaturise pour que l’on puisse saisir dans les deux sens du terme : attraper avec les mains et comprendre. Vous prenez l’œuvre de fiction et vous pouvez en définir tous les contours. Rien ne vous échappe si vous observez suffisamment longtemps et avec assez de minutie. Alors que la réalité, toujours mouvante, s’esquive sans cesse comme l’eau entre les doigts et se déploie dans toutes les dimensions sans permettre aucune prise ferme. Nulle exagération n’arrive à la cheville de la réalité. C’est bien pour ça qu’on a tout loisir de développer la fiction aussi loin qu’on veut, tout en restant bien consciente que, du côté de l’auteure, on la suit souvent où elle nous emmène, mais jamais si loin que la réalité.

NDLA : Cette nouvelle fait partie du recueil N’allez jamais à Montréal paru en décembre 2021.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ
www.francislagace.org

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Rien n’est plus douloureux que

Mon plus récent poème

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Rien n’est plus douloureux que

Par Sergio de Rosemont

Rien n’est plus douloureux que quand on vous rentre la dague dans le cœur, dans l’âme.

Rien n’est plus douloureux que lorsque la main qui tient la dague est celle de l’être que vous aimez.

Celle avec qui vous vous étiez juré d’être ensemble jusqu’à la mort.

C’est comme si les serres d’un « Oiseau Tonnerre » vous arrachait une partie de votre être, de votre cœur, de votre âme et s’envolait avec.

Cette blessure, cette douleur demeure à quelque part caché à l’intérieur de votre âme et peut refaire surface à n’importe quel moment, même des mois ou des années après que votre âme tel un phénix soit renait de ses cendres morales.

Oui ce coup de dague est l’une des pires douleurs que l’âme puisse ressentir car elle a déchirée une confiance et un amour qu’elle accordait à cet être aimé.

À cet être aimé que votre âme avait accepté telle qu’elle était.

Oui ça fait mal, très mal de se sentir avec l’âme déchirée, dépecée !

Quand la douleur remonte à la surface, les cicatrices sont encore douloureuses.

Oui ! Ca fait encore très mal !

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Toutes ces questions existentielles qu’on se pose

Mon plus récent tableau

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Toutes ces questions existentielles qu’on se pose.

Par Sergio de Rosemont

D’où venons-nous ?

Qui sommes-nous ?

Pourquoi sommes-nous là ?

Où allons-nous ?

### Quel est le but de tout cela ?

### Ces questions qui nous viennent à un moment ou l’autre.

### Photos du 31 mars 2024.

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